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La phase de poule de cette vingtième Coupe du monde connait cette semaine son dénouement. Avant les huitièmes de finale, Snackable revient sur les faits marquants de cette première partie de la compétition.

Le groupe B, dont les équipes s’affrontaient hier pour la dernière fois, a été témoin de la première sensation du mondial. Même si cette possibilité avait été évoquée, c’est finalement le Chili, tombeur de l’Espagne, qui s’est qualifié en compagnie des Pays-Bas pour le tour suivant.

L’élimination de l’équipe espagnole, championne du monde et double championne d’Europe en titre, ressemble à une pièce de théâtre. Une tragédie qui se joua en deux actes face aux Pays-Bas (5-1) et au Chili (2-0), et dont le dénouement envoie la glorieuse génération des Casillas, Xavi Alonso, Xavi et Villa à la retraite. Si la claque reçue contre les Bataves a sans doute pesé lors de la défaite contre le Chili, on remarquera que la Roja n’a jamais relevé le défi physique imposé par ses adversaires. Pris de vitesse par Robben et Van Persie lors du premier match, bousculés par le pressing chilien lors du second, les Espagnols ont peut-être payé une saison réussie mais trop éprouvante en club. Ils ont tout de même sauvé l’honneur face aux Australiens (3-0) hier soir.

GB

 

Les Pays-Bas, après avoir humilié l’Espagne, ont été moins sereins contre ces mêmes Australiens (3-2) et le Chili (2-0). Ils terminent tout de même en tête de la poule avec trois victoires et affronteront le Mexique en huitième. S’ils restent parmi les favoris de la compétition, les joueurs hollandais s’en remettent peut-être trop aux exploits individuels de leurs stars.

Les Chiliens quant à eux auront fort à faire contre le Brésil de Luiz Felipe Scolari, qui a toutefois déclaré qu’il aurait préféré tomber sur les Pays-Bas.

Crédit Photo : Getty image & Fifa

 

La phase de poule de cette vingtième Coupe du monde connait cette semaine son dénouement. Avant les huitièmes de finale, Snackable revient sur les faits marquants de cette première partie de la compétition.

Hier soir, les équipes qui composaient le groupe A se sont affrontées pour la dernière fois. Comme annoncé, le Brésil (1er) et le Mexique (2nd) se sont qualifiés tous les deux avec sept points, devant la Croatie et le Cameroun.

Si c’est la neuvième fois que le Brésil termine en tête de son groupe, la sélection auriverde n’a pas transpiré la sérénité durant ces trois premiers matchs.
Contre la Croatie (3-1), le Seleçao s’est faite mener d’entrée de jeu après un but contre son camp de Marcelo, avant de s’en remettre à Neymar pour égaliser puis pour prendre l’avantage grâce à un penalty inexistant. Contre le Cameroun (4-1), c’est encore une fois Neymar qui a mis ses coéquipiers sur les bons rails, en ouvrant le score puis en doublant la mise après l’égalisation d’une sélection camerounaise déjà éliminée, avant que Fred n’enfonce le clou sur un but hors-jeu.

En 8e, les hommes de Luiz Felipe Scolari seront à nouveau opposés au Chili, qu’ils avaient battu il y a quatre ans 3-0 au même stade de la compétition. Face au tombeur du champion du monde espagnol, les Brésiliens auront besoin d’une défense plus sereine et d’un secteur offensif libéré de sa dépendance envers Neymar, pour l’instant meilleur buteur de la compétition. Et on espère qu’ils ne profiteront pas à nouveau d’une erreur arbitrale…

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Les Mexicains se diront sans doute la même chose au moment d’affronter les Pays-Bas alors qu’on a refusé deux buts et un penalty sans raison légitime lors de leurs matchs contre le Cameroun (1-0) et la Croatie (3-1). Très solides pendant ces matchs de poule, ils pourront compter sur un Ochoa en grande forme et un Chicharito qui a retrouvé les chemins des filets hier après plus d’un an sans but en sélection.

Enfin on notera la déception représentée par le Cameroun, qui rend pour l’instant la pire copie de ce mondial. Les coéquipiers d’Eto’o, qui a peu joué en raison de problèmes physiques, N’Koulou ou Makoun ont connu une véritable débâcle défensive avec 9 buts concédés en trois matchs. 11, en comptant les buts injustement refusés…

Crédit Photo : Gabriel Cabral & Fifa

Coup de tonnerre hier soir au Maracana avec la défaite de l’Espagne face au Chili (2-0) qui entraîne l’élimination de la sélection ibérique, championne du monde en titre. Incapables de développer leur jeu contre des Chiliens qui ont eux livré un match complet, les Espagnols n’ont semble-t-il pas réussi à se remobiliser après la claque administrée la semaine dernière par les Pays-Bas (5-1). Ce sont les deux premières défaites consécutives de l’Espagne en 89 matchs !

Difficile de croire que cette équipe espagnole ait perdu son football, elle qui écrasait encore une superbe équipe d’Italie il y a deux ans en finale de l’Euro ! Si certains cadres étaient à la rue – Casillas, souvent coupables sur les sept buts encaissés par la Roja en deux matchs ou Xavi Alonso, brouillon, devraient faire les frais de cette élimination – d’autres, à l’image d’Iniesta, ont répondu présents et avaient les cartes en main pour faire un beau parcours, aidés par la jeune génération des Azpilicueta ou Koke.

Mais plus que le mental ou la technique, c’est le physique qui manquait à nos voisins : on se rappellera longtemps de Robben, flashé à 37 km/h, qui a laissé le pauvre Sergio Ramos sur place. Rebelote face à la sélection sud-américaine où chaque course d’Alexis Sanchez mettait la défense espagnole en grand danger.

Real Madrid v Athletico Madrid - UEFA Champions League Final

Paradoxalement, la cause principale de la déroute espagnole en terre brésilienne pourrait être la domination de ses clubs en Europe : victoire du FC Séville en Ligue Europa et finale madrilène entre le Real et l’Atletico en Ligue des Champions.

Ajoutez à cela une course au titre en championnat aussi palpitante qu’épuisante entre ces deux derniers et le Barça et vous aurez un début d’explication aux traits tirés des Ramos et Xavi Alonso (Real), Piqué, Alba, Busquets, Xavi, Iniesta ou Pedro (Barcelone), Diego Costa et Koke (Atletico). Au total, 14 des 23 joueurs sélectionnés sont titulaires dans l’un de ces trois clubs, et au regard de ce mondial, on peut penser qu’ils auraient été plus à leur place en vacances, la Coupe à la télé.

Crédit Photo : Getty image

Ce cinquième jour marque l’entrée dans la compétition des deux derniers groupes et donc la fin de cette présentation de la face de poule pour Snackable.

Nous terminerons donc aujourd’hui avec le Groupe H de la Belgique, de la Russie, de l’Algérie et de la Corée du Sud. Sans tête d’affiche, ce groupe promet d’être le plus indécis. La Belgique est équipe séduisante sur le papier avec Courtois, Kompany ou Hazard, qui sont parmi les meilleurs joueurs au monde à leur poste, auxquels ils faut ajouter Alderweireld, Vermaelen, Defour, Fellaini, Lukaku ou Mertens, tous titulaires dans les plus grands clubs européens. On aura également un oeil sur le jeune prodige de 19 ans Adnan Januzaj qui disutait cette année sa première saison avec Manchester United.

La Russie de Fabio Capello arrive elle forte d’une première place dans son groupe de qualification devant le Portugal et de joueurs de bons niveaux habitués aux compétitions des clubs européens. Mais comme la Belgique, les Russes ont déjà fait preuve d’inconstance par le passé : défaites face au Japon et la Colombie en match amical pour les premiers, élimination dès la phase de poule lors de l’Euro 2012 pour les seconds malgré un groupe en apparence faible.

La Corée du Sud, avec une demie-finale en 2002, semble être l’équipe la plus habituée à cette compétition avec huit participations consécutives. Les Coréens essaieront de sortir des poules, comme il y a quatre ans, mais ils laissent une impression mitigée après avoir été devancé par l’Iran lors des qualifications asiatiques.

L’Algérie dispute elle sa quatrième compétition après celles de 1982, 1986 et de 2010. En Afrique du Sud, El Khadra ( la verte ) n’avait pas marqué le moindre but et elle n’a pas non plus remporté le moindre match lors de la dernière CAN. La sélection algérienne, grâce à quelques talents comme Feghouli, Taïder et Slimani, est toutefois présentée comme une équipe difficile à manœuvrer.

Si la somme des individualités peut tromper, la sélection Belge devrait logiquement se qualifier. La Russie et la Corée du Sud devraient batailler pour la seconde place mais l’Algérie pourrait également avoir sa chance dans un groupe très disputé.

Crédit Photo : Erik Drost

Ce cinquième jour marque l’entrée dans la compétition des deux derniers groupes et donc la fin de cette présentation de la face de poule pour Snackable.

Aujourd’hui nous allons nous intéresser au Groupe G, désigné comme le groupe de la mort du fait de la présence de deux candidats au titre, l’Allemagne et le Portugal, ainsi que du Ghana et des Etats-Unis, deux sélections qui s’étaient qualifiées en 8e lors de la dernière édition.

L’opposition entre l’Allemagne et le Portugal, respectivement deuxième et quatrième nation au classement FIFA, promet l’un des plus beaux matchs de cette phase de poule. L’Allemagne est comme toujours  l’un des grands favoris de la compétition : finaliste en 2002, troisième en 2006 et 2010, elle aura à cœur de briser la malédiction alors qu’elle a également terminé deuxième de l’Euro 2008 et troisième de l’Euro 2012.

La sélection de Joachim Löw peut s’appuyer sur une jeune génération dorée composée de Götze (21 ans), Schürrle (23 ans), Kroos et Müller (24 ans), ce dernier confirmant année après année son statut de meilleur espoir du dernier mondial. Ces perles offensives seront encadrées par des joueurs d’expériences comme Lahm, Schweinsteiger, Neuer, Podolski, Khedira, Özil ou Klose. Reste à connaitre l’état de forme de ces trois derniers, alors que la Mannschaft n’a pour l’instant pas été épargnée par les blessures (Badstuber, frères Bender, Gündogan, Reus…).

Müller_CC_Flickr_LizNN7

Le Portugal, emmené par le ballon d’or Cristiano Ronaldo, qui affirme être à 100% malgré une récente blessure, Pepe ou encore le monégasque Mouthino dispose également de sérieux arguments pour sortir de cette poule. Lors de l’Euro 2012, ils étaient déjà confrontés au groupe de la mort en compagnie de l’Allemagne, les Pays-Bas et le Danemark avant de se hisser dans le dernier carré de la compétition.

Le Ghana sera également attendu après être passé près de devenir la première équipe africaine qualifiée pour les demies en 2010 à cause d’une main volontaire de l’Uruguayen Luis Suarez. Les frères Ayew, Kwadwo Asamoah, Michael Essien, Kevin-Prince Boateng et surtout Asamoah Gyan, qui avait alors raté le penalty qualificatif, essaieront à nouveau de marquer l’histoire.

Les Etats-Unis, éliminés par le Ghana en huitième de finale il y a quatre ans devraient à nouveau constituer une opposition sérieuse pour leurs concurrents. Mais il faudra plus que l’american spirit aux hommes de Jürgen Klinsmann, privés de la star Landon Donovan, pour sortir de ce groupe.

Crédit Photo : CC / Flickr / Ludovic Péron & LizNN7

Quatrième jour de compétition et Snackable continue son tour d’horizon des groupes de la Coupe du monde.

Comme le groupe E de la France, le groupe F de l’Argentine, la Bosnie, le Nigéria et l’Iran débute aujourd’hui. Les Argentins et leur armada offensive (Messi, Aguero, Lavezzi, Di Maria, Higuain…) dispose, comme la France, d’un des groupes en apparence les plus faibles de la compétition. Premiers des qualifications sud-américaines, ils auront à cœur d’aller cette fois plus loin que les quarts de finale qu’ils n’ont plus dépassés depuis 1990 et leur défaite en finale contre l’Allemagne.

Leo Messi aura une occasion de rebondir après une saison plutôt terne : pour la première fois depuis cinq ans, il n’a gagné aucun titre !

Comme en 2010, il retrouve dans son groupe le Nigéria qui devrait disputer la second ticket de cette poule à la Bosnie. Les deux équipes ont réalisé un parcours encourageant en qualification où ils ont terminé en tête de leur groupe. Avantage toutefois à la Bosnie, quatrième meilleure attaque de la zone UEFA derrière l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Angleterre grâce notamment à son buteur de classe mondiale Edin Dzeko.

L’Iran ne devrait pas peser dans cette poule malgré la présence sur le banc de Carlos Queiroz, quart de finaliste avec le Portugal en 2010.

Crédit Photo : Joscarfas

Quatrième jour de compétition et Snackable continue son tour d’horizon des groupes de la Coupe du monde.

Aujourd’hui c’est la France qui débute sa compétition contre le Honduras, dans un groupe E qui compte aussi la Suisse et l’Equateur. Comme souvent, la France semble avoir toutes les cartes en main. La sélection de Didier Deschamps, malgré les forfaits de Ribéry, Grenier et Mandanda, offre tout de même un visage séduisant : une attaque menée par Benzema et Giroud et alimentée par Valbuena et Griezmann ; l’un des meilleurs milieux de la compétition avec Cabaye, Matuidi et surtout Pogba, joueur le plus cher de cette équipe ; une défense jeune mais talentueuse composée de Varane ou Sakho et encadrée par les expérimentés Evra et Sagna.

Les Bleus ont fait le plein de confiance contre la Jamaïque (8-0) lors de leur dernier match de préparation et ont jusqu’à présent fait preuve de caractère, en se qualifiant en barrage contre l’Ukraine (3-0) après un premier match perdu (2-0). Une défaite que les Bleus, alors proches de rester à la maison malgré leur statut de favoris, devront garder en tête au moment d’affronter le Honduras.

Ce premier match semble le plus abordable, face à une sélection emmenée par les frères Palacios qu’il ne faut pas sous-estimer. La Suisse et l’Equateur devraient eux s’affronter pour la seconde place qualificative. La « Nati » coachée par Ottmar Hitzfeld est une habituée des grandes compétitions internationales. Il y a quatre ans, elle s’était offerte l’Espagne pour son premier match. Cette année, elle a terminé première invaincue de son groupe de qualification… L’Equateur pour sa part pourrait être la bonne surprise de ce groupe : les Sud-Américains ont tenu en échec les Pays-Bas et l’Angleterre en match de préparation.

Si les Bleus terminent à la première place de ce Groupe E, ils auront toutes les chances d’éviter l’Argentine en 8e de finale et d’affronter le deuxième du groupe F, la Bosnie ou le Nigéria.

Crédit Photo : eser.karadag

La Coupe du monde de football en est à son troisième jour. Snackable continue sa présentation de la phase de poule en revenant sur l’un des huit groupes de cette première phase.

Avec le Groupe C, c’est le Groupe D de l’Angleterre, l’Italie, l’Uruguay et le Costa Rica qui connait aujourd’hui ses débuts dans la compétition. Les trois anciens champions du monde s’affronteront pour seulement deux places en 8e.

Privée de cadres comme Montolivo, la sélection italienne semble la mieux armée pour dominer ce groupe grâce aux expérimentés Buffon, Pirlo et De Rossi et aux talentueux Balotelli et Verratti. Finalistes malheureux du dernier Euro, les Italiens ont la motivation et les moyens de faire oublier le dernier mondial où ils n’avaient pas réussi à sortir des poules.

 

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Alléchante sur le papier, la présence de l’Angleterre et de l’Uruguay pourrait faire de ce groupe le fameux « groupe de la mort ». Mais les deux équipes sont minées par les blessures, entre Oxlade-Chamberlain et Walcott forfaits côté anglais et l’état de forme incertain de l’uruguayen Luis Suarez après son opération des ménisques fin-mai.

Reste toutefois quelques noms pour nous faire espérer : Cavani animera l’attaque d’une Celeste qui n’est plus que l’ombre de celle d’il y a quatre ans et qui est passée par les barrages pour se qualifier. Les Rooney, Lampard, Gerrard et Wilshere ont eux l’occasion de conclure en beauté une saison frustrante en club malgré de bonnes prestations à titre individuel. Les deux formations seront particulièrement observées alors qu’elles seront vraisemblablement concurrentes pour la deuxième place du groupe.

Enfin le Costa Rica vient décomplexé face à ces géants auprès desquels il pourrait jouer le rôle d’arbitre. L’équipe qui laisserait des points face à eux serait sérieusement handicapée pour la qualification.

Crédit Photo : CC / Flickr / jikatu et calciostreaming

 

La Coupe du monde de football en est à son troisième jour. Snackable continue sa présentation de la phase de poule en revenant sur l’un des huit groupes de cette première phase.

Aujourd’hui, c’est le Groupe C, composé de la Colombie, la Côte d’Ivoire, le Japon et la Grèce qui entre en lice. La Colombie, sans Falcao, l’un des meilleurs buteurs du monde, garde de sérieux atouts grâce à James Rodriguez (Monaco), Jackson Martinez (Porto) et Fredy Guarin (Inter) et une défense menée par l’infatigable Mario Yepes (38 ans). Ils ont accroché la deuxième place des éliminatoires de cette Coupe du monde derrière l’Argentine.

La Côte d’Ivoire menée par Didier Drogba, Yaya Touré, Gervinho et Salomon Kalou offre une attaque séduisante (64 buts cette saison) tandis qu’il faudra surveiller l’arrière toulousain Serge Aurier après son excellente saison. Les Éléphants semblent enfin bénéficier d’un tirage à leur portée après être tombés sur l’Argentine et les Pays-Bas puis le Brésil et le Portugal lors des dernières éditions. En effet, la Grèce et le Japon ne devraient pas être de taille à s’opposer aux qualifications des deux favoris.

La légendaire solidité défensive qui avait permis à la Grèce de remporter l’Euro 2004 et de finir 2e meilleure défense de la zone UEFA lors des dernières qualifications ne devrait pas compenser le manque de potentiel offensif. Les Japonais quant à eux devraient encore une fois répondre présent en matière d’engagement et de rigueur tactique mais l’absence de qualité technique, en dehors de Kagawa (Manchester United) et Honda (Milan) qui ont cependant peu joué cette saison, sera rédhibitoire. S’ils disposent a priori d’un groupe ouvert, les équipes qualifiées déchanteront en 8e de finale où elles seront opposées aux qualifiés du Groupe D, qui compte notamment l’Angleterre, l’Italie et l’Uruguay.

Crédit Photo :  manbeastextraordinaire

Alors que la Coupe du monde est l’occasion pour les grosses cylindrées publicitaires que sont Nike, Adidas ou encore Coca-Cola de mettre le paquet, GoPro sait se distinguer. L’entreprise californienne, qui a l’habitude de nous faire vivre les choses de l’intérieur, que ce soit une rencontre avec un grand requin blanc ou l’entrainement de Manchester City, nous plonge cette fois en pleine partie de foot sauvage.


Brésil oblige, on alterne les gestes techniques les plus purs, dans la favela, à la plage ou sur un vrai terrain. Le plus de cette vidéo ? Elle a été réalisée par le media manager de GoPro, Davis Paul, un ancien professionnel des Chicago Fire.  » Quand ils ont appris que j’étais un ancien professionnel, c’est comme si j’avais eu une cible dans le dos. Tous les gamins voulaient la balle pour me dribbler ! Tant de confiance, j’ai adoré !  » racontait-il au site américain AdWeek. « Il n’y a pas d’entraîneur, d’équipement, de règle. Le jeu est pur là-bas. J’aurais aimé pouvoir ramener de cette mentalité aux USA. »